36° congrès du PCF dans l'Isère (Saint-Martin d'Hères) (Par Dominique Négri)
De bonnes nouvelles mais une lutte très dure et dénuée de contenu politique de la part de nos adversaires de l'intérieur qui ont perdu la face par :
- leurs petitesses,
- leurs attaques personnelles
- leur manque de fraternité,
- leur rejet de la jeunesse révolutionnaire de SMH, insultant leur intelligence et leur indépendance d'esprit communiste. Surtout pour eux enkysté dans l'idéologie dominante, un comble. Ils leur ont, dit qu'ils récitaient, qu'ils étaient endoctrinés, etc....
Malgrè notre volonté de faire de la politique et le bureau de congrès que nous avons ouvert à deux des leurs, ils ont présidés et décidés avec les nôtres.
Et ils ont perdu tous les votes tant à mains levées qu'à bulletins secrets dont celui de la base commune rejetée à 60%. Vote du texte exigé par l'un des leurs à bulletins secrets pour faire partir les nôtres de dépit face à ce congrès tendu et sans intéret pour gagner par désertion.
Et bien, non les nôtres sont restés malgré tout jusqu'à la dernière minute pour affirmer leur soutien à la direction de section.
Une sacré victoire mais un congrès sans débat politique, donc décevant.
Ils sont intervenus pour prés de 80% du temps de parole, sur des questions de formes, des accusations, des insultes.
Nous n'avons jamais répondu aux multiples provocations.
Ils ont voulu interrompre le rapport de trésorerie et le bilan d'activité de la section.
Tout a été bon, mais en vain....
Ils sont repartis comme ils sont venus, avec 5 élus sur une liste alternative qui a permis de mesurer le rapport de force en leur présence et sous leur contrôle et celui de tous. Ils ont perdu.
Nous avons confirmé physiquement le rapport de force sorti des urnes soit disant bourrées par la direction de section les 14 et 15 déc 2003.
Réunir aujourd'hui, pour ce congrès, une centaine de communistes sur un peu plus de 150 adhérents cotisants : c'est une sacré légitimité.