Coronavirus : comment les cliniques Cap Santé se préparent à une seconde vague
Ils ne perdent pas le nord ?
Jamais en fait.
Les établissements privés viennent de s'apercevoir qu'ils étaient passés à côté (entendez les profits qu'ils auraient pu faire grâce aux subventions publiques) de la première vague du Coronavirus.
Alors, pendant "le ressac", ils s'organisent pour PROFITER de la deuxième vague.
Les besoins des femmes et des hommes ? Leur santé ? Disons que, pour eux, cela peut servir ... comme prétexte à mettre en avant.
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