Dunlopillo-Mantes. NON AUX 61 LICENCIEMENTS
Pas plus aujourd'hui qu'hier, les licenciements ne sont acceptables.
Depuis des années maintenant, du président du Conseil départemental au maire de Limay, les "sauveurs suprêmes" se sont précipités devant les micros et les caméras pour affirmer haut et fort que l'entreprise serait sauvée.
Quelques années et quelques dizaines de
millions d'euros de fonds publics plus tard,
où en est-on de ces promesses?
Les salariés ont bien raison de vouloir rester debout. Pour eux, pour les emplois futurs (ceux de nos enfants), pour qu'on puisse encore VIVRE ET TRAVAILLER DANS LA REGION MANTAISE.
Vous trouverez, ci-dessous, le tract des communistes de Mantes-la-Jolie d'avril 2016 et l'article qu'ils avaient consacré à la situation de Dunlopillo quelques mois plus tard.